Le cyclisme sur route est un sport aérobie qui sollicite
vivement l'outil cardio-vasculaire. À l'inverse de l'épreuve (à pied), c'est un
sport "porté" qui se sert de moins de groupes musculaires et permet
des récupérations plus simples en raison de l'inertie. Il sollicite finalement
deux à de nombreuses reprises plus de moment d'entraînement. Supplémentaire, le
cyclisme fait étudier les muscles des cuisses par contraction concentrique ce
qui est énormément moins traumatisant pour les fibres que la contraction
excentrique de l'épreuve. Pour s'entraîner réellement, il faut considérer
indépendamment son duo de notions que restent le potentiel et l'endurance
(Réf.).
Optimisation du potentiel
Les plusieurs obligations du cyclisme (gravité, aérodynamique,
frottement) restent grandes à connaître pour accroître les performances. Elles
ont la faculté d’êtres évaluées avec précision avec le calculateur suivant:
Estimation du potentiel Pour améliorer le potentiel, il faut s'entraîner sur
des parcours chronométrés et/ou en côtes. A ce niveau, l'intensité du labeur a
incontestablement plus d'importance que la distance. Pareil que le potentiel
aérobie limite (PAM) n'est capable d'être tenu à jour plus de 6 à 8 min d'après
le niveau, il faut s'entraîner sur cette période le plus possible ou par
fractions de cette période. Notamment, on peut réaliser des répétitions de 1min
à PAM + 30s à PAM/2, mais l'idéal est d'exploiter un fractionnement bref
approprié au besoin. Les réglages du fractionnement (moment à PAM, moment de
collecte, nombre de répétitions, nombre de séries) se déterminent depuis la PAM.
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